Rapport sur les risques cybernétiques 2022 : comment les fondateurs abordent la cybersécurité dans le climat actuel

Quelle est la taille d’un accord de cybersécurité de toute façon ? Ce n’est un secret pour personne que les fondateurs ont beaucoup à faire. Les capitaux à risque ne font plus de gros chèques, nous sommes en pleine récession et la gueule de bois de la pandémie a créé des difficultés opérationnelles à tous les niveaux. Nous avons interrogé plus de 400 startups soutenues par VC pour savoir comment elles gèrent les vents contraires économiques actuels, à quel point elles sont préoccupées par la cybersécurité, entre autres problèmes auxquels elles sont confrontées dans notre nouveau rapport sur la cybersécurité : Startup Edition.

Les préoccupations en matière de cybersécurité se multiplient

Notamment, les résultats de l’enquête ont révélé que plus des deux tiers des fondateurs (68%) avaient subi une cyberattaque sur l’une de leurs entreprises. Cela explique probablement pourquoi une majorité (86 %) des fondateurs déclarent avoir mis en place des mesures de sécurité en matière de cybersécurité. Mais même avec les politiques en place, 71 % ont déclaré qu’ils envisageaient des protections et des outils en ligne supplémentaires pour 2023.

Les inquiétudes concernant la cybersécurité augmentent parmi les fondateurs, avec près d’un tiers (31%) préoccupés davantage par les menaces de cybersécurité que l’année dernière. En effet, 14% des fondateurs pensent qu’ils subiront une attaque par rapport à cette période l’an dernier (36% en 2021 contre 50% en 2022).

Les préoccupations en matière de cybersécurité augmentent parmi les fondateurs

Les influences sociales guident les décisions

La forte proportion de startups disposant d’une cyber-assurance peut être attribuée en partie à la pression des investisseurs et/ou des membres du conseil d’administration, près de la moitié (49 %) citant une protection d’assurance contre la cybersécurité comme l’exige l’une de ces entités ou les deux. Cependant, ce ne sont pas seulement des facteurs internes qui poussent les fondateurs à réévaluer leur cyber-risque. Les fondateurs rapportent que des facteurs externes tels que les événements mondiaux ont un effet notable. Lors de l’achat d’une cyber-assurance, les fondateurs citent leurs décisions comme étant motivées par (a) les tensions autour des relations externes (40 %), (b) la couverture médiatique d’autres violations de données de l’entreprise (35 %), et (c) la gestion d’un groupe mixte/à distance effectif ( 32%).

Nous avons effectivement vu cela se produire avec nos clients. Peu de temps après le début de la guerre en Ukraine, nous avons constaté une augmentation de 50 % du nombre de demandes de polices Internet. Il montre également exactement comment les événements actuels influencent les décisions commerciales en temps réel. Avec l’augmentation de la couverture de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, il va de soi que les fondateurs s’inquiéteraient d’éventuelles cyber-attaques de représailles de la Russie contre les infrastructures et les entreprises américaines.

Écran d'ordinateur portable montrant une coche de vérification verte pour preuve d'assurance pour les startups e-tech non financées

Les cyber-risques sont-ils en hausse ?

Lisez le rapport 2022 Cyber ​​​​Risk Index pour découvrir ce qui inquiète les entreprises, comment elles se protègent et ce que l’avenir leur réserve.

Télécharger le rapport

Les startups prennent au sérieux la cyberassurance

La majorité des startups ont une excellente couverture de cyber-assurance, mais ne savent pas quel risque est réellement couvert. Parmi les fondateurs qui ont déclaré que leur entreprise avait une assurance électronique (86 %), plus de 52 % ont décrit leur type de couverture comme « adaptée à nos besoins » ou comme la formule « la plus complète » disponible. Cependant, la moitié des startups disposant d’une cyber-assurance ont déclaré que leur police existante couvrirait partiellement leurs risques en cas d’attaque ou de violation. De plus, parmi les personnes interrogées qui n’avaient pas d’assurance électronique, la principale raison à cela était le coût (44 %). (Cela vous ressemble-t-il ? Notre équipe peut vous aider à trouver une assurance électronique à un coût adapté à votre entreprise.)

Vers 2023 et au-delà

Alors que les fondateurs se tournent vers 2023, ils sont les plus préoccupés par les effets de l’inflation (32 %), des cyberattaques (27 %) et des défis de la chaîne d’approvisionnement (26 %). Cela marque un changement par rapport au début de cette année. Dans notre rapport Startup Risk Index de février 2022, les fondateurs ont répertorié leurs trois principales préoccupations comme l’inflation, les problèmes de chaîne d’approvisionnement et la concurrence. A cette époque, la cybersécurité n’était pas classée.

Mais désormais, les trois principaux « domaines d’investissement non négociables » pour l’année à venir sont : l’innovation des produits (32 %), la protection de la cybersécurité (31 %) et les mises à niveau des équipements (30 %). Cela renforce la mesure dans laquelle les fondateurs se concentrent sur une meilleure protection et un meilleur soutien de l’infrastructure et des équipements de leur entreprise.

Pour en savoir plus sur la façon dont les fondateurs abordent la cybersécurité dans leur entreprise, téléchargez le Rapport sur la cybersécurité : Startup Edition.

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